Baromètre chantier
À compter de 2021, découvrez les premiers indicateurs et chiffres clés du projet.
L'extraction des sédiments vise deux objectifs : reprofiler le lit de la vallée de la Sélune et éviter leur transfert en aval du barrage de La Roche-Qui-Boit.
Représentant un volume estimé à 210 000 m3, ces sédiments seront stockés dans des géotubes biodégradables, situés dans l'ancienne retenue du barrage de Vezins. Un projet unique à cette échelle.
Le curage est réalisé à l’aide d’une drague, permettant de pomper les sédiments depuis une barge, puis de les exporter via des tuyaux sur une distance de 4 km. Le procédé limite ainsi le recours aux véhicules sur le site.
Le déroulement du chantier est adapté au cycle de vie des espèces. La majeure partie du budget est dédiée à la préservation de l’environnement et notamment au retrait des sédiments, afin d'éviter une pollution de la Sélune.
Le reste vise à préserver l’habitat des espèces protégées présentes sur le site.
À compter de 2021, découvrez les premiers indicateurs et chiffres clés du projet.
L’habitat des chauves-souris qui ont élu domicile au barrage vient d'être sécurisé pour protéger la biodiversité. Merci au Groupe Mammologique Normand et à l'entreprise MOTTIER de Ducey pour leur appui !
EDF a présenté les travaux en cours aux élus des communes d'Isigny-Le-Buat, de Ducey et de Saint-Laurent-de-Terregatte.
EDF débute l'extraction des sédiments présents dans le lac de la Roche-Qui-Boit afin de reprofiler le lit de la vallée de la Sélune et d’éviter leur transfert en aval pour protéger la baie du Mont-Saint-Michel. Il s’agit là de la première des trois étapes du chantier de renaturation du barrage hydroélectrique.
L'objectif est de faire un état des lieux photographique documenté du site de production avant sa déconstruction et ainsi d'en conserver la mémoire. Une fois l’étude achevée, les ressources seront mises à disposition du grand public par la région Normandie.
Une grue a permis de mettre à l'eau la drague de 70 tonnes à proximité du pont de Dorière.
6 panneaux pédagogiques ont été installés autour du lac de La Roche-Qui-Boit pour informer sur les enjeux et le déroulement de ce chantier.
Pour garantir la sécurité de tous, la navigation et l’accès au lac vide sont interdits par arrêté préfectoral pendant les travaux.
Aménagement de la base, retrait des sédiments... La première semaine de travaux débute. Les matériaux issus de la démolition seront réutilisés, pour un bilan carbone optimal.
Les journalistes de France 3 ont suivi Stéphane Choley, directeur d’EDF Hydro Normandie, pour couvrir le déroulement du chantier.
Une équipe de France 3 a réalisé un sujet pour expliquer pourquoi et comment les sédiments présents dans le lac de la Roche-Qui-Boit sont retirés. Découvrez prochainement le reportage.
Cet important chantier de 15 M€, débute en juillet 2020 par le retrait des sédiments et se poursuivra jusqu’en 2022 avec la vidange de la retenue, puis le démantèlement du site.
La mare créée début février permet de protéger 3 espèces protégées de batraciens présentes sur le site : la Grenouille agile, le Crapaud commun, le Triton palmé et la Salamandre.
Les sédiments extraits du lac de la Roche-Qui-Boit sont acheminés par des tuyaux dans les géotubes. Cette technologie permet de les essorer rapidement.