Résultats semestriels 2020
Présentation des résultats semestriels 2020 du Groupe - 30 juillet 2020
Centrale nucléaire de Chooz
Actualités
Farhane, sa motivation au service de l'environnement
Publié le 08/10/2020
Étudiant en dernière année de master Transition écologique et politiques publiques à l'Université de Reims Champagne-Ardennes, Farhane fait partie des nombreux stagiaires que la centrale de Chooz accueille chaque année. Après l’obtention, en 2015, de son bac économique et social, au lycée Vauban, ce jeune Givetois décide de s'installer dans la ville de Reims afin d'y réaliser une licence Economie et Société avant de s’intéresser aux problématiques liées à la transition écologique. Pour son stage de fin d’études, Farhane choisit de revenir dans ses Ardennes natales pour rejoindre le Service technique environnement de la centrale de Chooz. Ce qui l’a motivé à postuler ? « Les missions de stage qui correspondent à mon parcours universitaire et me permettent d’acquérir une meilleure connaissance des aspects techniques, et la volonté de découvrir comment concilier problématiques environnementales et site nucléaire ».
Un stage entre échanges, partage et découverte
Parmi ses missions, Farhane établit des bilans des actions environnementales et apporte un regard neuf sur les thématiques en lien avec la préservation de la biodiversité sur le site et ses alentours. « Pour ce faire, je suis amené à échanger et à partager avec les autres centrales et les parties prenantes externes comme le Parc Naturel Régional des Ardennes. J’ai aussi eu l’occasion d’accompagner les écologues lors de leur venue sur le site et de découvrir avec eux le couple de faucons pèlerins. » Pendant son temps libre, Farhane pratique le judo au Judo Club Givetois. Ardennais d’origine, il est également passionné d’activités de pleine nature comme la randonnée et le vélo qui lui permettent de profiter de nos paysages uniques.
Un stage entre échanges, partage et découverte
Parmi ses missions, Farhane établit des bilans des actions environnementales et apporte un regard neuf sur les thématiques en lien avec la préservation de la biodiversité sur le site et ses alentours. « Pour ce faire, je suis amené à échanger et à partager avec les autres centrales et les parties prenantes externes comme le Parc Naturel Régional des Ardennes. J’ai aussi eu l’occasion d’accompagner les écologues lors de leur venue sur le site et de découvrir avec eux le couple de faucons pèlerins. » Pendant son temps libre, Farhane pratique le judo au Judo Club Givetois. Ardennais d’origine, il est également passionné d’activités de pleine nature comme la randonnée et le vélo qui lui permettent de profiter de nos paysages uniques.
Redémarrage de l’unité de production n°2 de la centrale de Chooz
Publié le 04/10/2020
Le Dimanche 4 octobre 2020 à 5h00, l’unité de production n°2 de la centrale nucléaire de Chooz a été reconnectée au réseau électrique national.
Elle avait été mise à l’arrêt le vendredi 21 août 2020 à 00h30, conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique concernant les seuils de débit d'eau de la Meuse.
La pluviométrie favorable de ces derniers jours a permis le franchissement de ces seuils et, par conséquent, les opérations de redémarrage de l’unité de production n° 2.
L’accord établi entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, ...) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités.
Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges. Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations.
Pour rappel, l’unité de production n°1 qui était à l’arrêt pour les mêmes raisons que l’unité de production n°2, a été reconnectée au réseau électrique national le lundi 28 septembre 2020.
Elle avait été mise à l’arrêt le vendredi 21 août 2020 à 00h30, conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique concernant les seuils de débit d'eau de la Meuse.
La pluviométrie favorable de ces derniers jours a permis le franchissement de ces seuils et, par conséquent, les opérations de redémarrage de l’unité de production n° 2.
L’accord établi entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, ...) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités.
Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges. Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations.
Pour rappel, l’unité de production n°1 qui était à l’arrêt pour les mêmes raisons que l’unité de production n°2, a été reconnectée au réseau électrique national le lundi 28 septembre 2020.
Site en déconstruction de CHOOZ A : départ du premier convoi de déchets vers le nouveau centre d'entreposage ICEDA
Publié le 02/10/2020
Le premier convoi de déchets issus de la cuve du réacteur de la centrale en démantèlement de Chooz A a pris la direction de la centrale nucléaire du Bugey pour rejoindre le nouveau centre d’entreposage de déchets radioactifs, ICEDA. Il s’agit aussi des premiers déchets qu’accueille cette nouvelle installation destinée à conditionner et entreposer temporairement des déchets métalliques radioactifs de Moyenne Activité à Vie Longue.
Le premier convoi de déchets provenant de l’intérieur de la cuve du réacteur a quitté Chooz A le 22 septembre. Ces déchets seront entreposés dans le nouveau centre ICEDA, situé sur le site de la centrale nucléaire du Bugey dans l'Ain.
ICEDA (Installation de Conditionnement et d'Entreposage de Déchets Activés) a reçu son autorisation de mise en service par l’ASN le 28 juillet 2020. Le convoi parti de Chooz A sera ainsi le premier réceptionné par les équipes de ce nouveau centre construit et exploité par EDF.
Le transport de ce type de déchets est également une première : le container et le châssis de transport utilisés ont été conçus spécialement pour l’opération et ont été utilisés pour la première fois en France. Ils serviront ensuite pour les prochaines expéditions en provenance de Chooz A et pour de futures opérations de démantèlement.
Cette opération inédite, qui s’inscrit dans le cadre du chantier de démantèlement de la cuve du réacteur débuté en 2015, a nécessité 8 mois de préparation et a mobilisé une dizaine de personnes le jour du chargement et bien plus tout au long du projet.
Le premier convoi de déchets provenant de l’intérieur de la cuve du réacteur a quitté Chooz A le 22 septembre. Ces déchets seront entreposés dans le nouveau centre ICEDA, situé sur le site de la centrale nucléaire du Bugey dans l'Ain.
ICEDA (Installation de Conditionnement et d'Entreposage de Déchets Activés) a reçu son autorisation de mise en service par l’ASN le 28 juillet 2020. Le convoi parti de Chooz A sera ainsi le premier réceptionné par les équipes de ce nouveau centre construit et exploité par EDF.
Le transport de ce type de déchets est également une première : le container et le châssis de transport utilisés ont été conçus spécialement pour l’opération et ont été utilisés pour la première fois en France. Ils serviront ensuite pour les prochaines expéditions en provenance de Chooz A et pour de futures opérations de démantèlement.
Cette opération inédite, qui s’inscrit dans le cadre du chantier de démantèlement de la cuve du réacteur débuté en 2015, a nécessité 8 mois de préparation et a mobilisé une dizaine de personnes le jour du chargement et bien plus tout au long du projet.
Redémarrage de l’unité de production n°1 de la centrale de Chooz
Publié le 28/09/2020
Le lundi 28 septembre 2020 à 5h45, l’unité de production n°1 de la centrale nucléaire de Chooz a été reconnectée au réseau électrique national.
Elle avait été mise à l’arrêt le lundi 24 août 2020 à 23h30, conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique concernant les seuils de débit d'eau de la Meuse. La pluviométrie favorable de ces derniers jours a permis le franchissement de ces seuils et, par conséquent, les opérations de redémarrage de l’unité de production n° 1.
L’accord établit entre la France et la Belgique détermine en effet les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités.
Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges. Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations.
La disponibilité de l’unité de production n°2, actuellement à l’arrêt, pourrait être retrouvée prochainement, en fonction des prochains épisodes pluvieux. Pour rappel, l’unité de production n°2 avait été arrêtée le vendredi 21 août 2020 à 00h30.
Elle avait été mise à l’arrêt le lundi 24 août 2020 à 23h30, conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique concernant les seuils de débit d'eau de la Meuse. La pluviométrie favorable de ces derniers jours a permis le franchissement de ces seuils et, par conséquent, les opérations de redémarrage de l’unité de production n° 1.
L’accord établit entre la France et la Belgique détermine en effet les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités.
Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges. Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations.
La disponibilité de l’unité de production n°2, actuellement à l’arrêt, pourrait être retrouvée prochainement, en fonction des prochains épisodes pluvieux. Pour rappel, l’unité de production n°2 avait été arrêtée le vendredi 21 août 2020 à 00h30.
Nicolas, l'innovation au bout des doigts
Publié le 24/09/2020
Originaire de Mulhouse, en Alsace, Nicolas est issu d'une filière technologique. Passionné par l'industrie, il réalise un BTS CIRA (Contrôle industriel et régulation automatique) au lycée Louis Armand de Mulhouse. Une fois son BTS en poche en 2008, il étudie la gestion de l'eau dans le cadre d’une licence professionnelle Protection de l'environnement option gestion des eaux urbaines et rurales (PEGEUR) au sein de l'école hydraulique ENGEES de Strasbourg. Après ses études, Nicolas réalise plusieurs missions en intérim dans diverses industries avant de s'installer dans les Ardennes où il rejoint, en 2009, les équipes de la centrale de Chooz en tant que préparateur robinetterie au service électromécanique. L'année suivante, lors de la création du service Management de la Fiabilité de la centrale, Nicolas devient technicien d’ingénierie, puis préparateur appui outils. Il surveille en permanence les systèmes et anticipe les besoins à moyen et long terme. « Mon rôle est notamment de superviser les systèmes de traitement de l'eau de la Meuse afin de prévenir les risques d’entartrement et microbiologiques ».
Correspondant drone : comme un poisson dans l'eau
En 2019, lors de la création d’un "Centre de compétences drones" par les équipes de la Division technique générale d'EDF, Nicolas devient correspondant drone de la centrale de Chooz. « Ce centre est un lieu d'échange d'idées et de bonnes pratiques au service de l'innovation basées sur l'utilisation des drones ». Lorsque sur le site de Chooz, l'idée est venue d'acquérir un drone aquatique afin de pouvoir réaliser un contrôle visuel des filtrages de la station de pompage, c'est Nicolas qui a été chargé d'échanger avec son réseau afin de trouver le matériel adéquat et rendre possible ce projet ! « L'opération de vérification des filtres de la station de pompage était jusqu’alors réalisée par des plongeurs : une opération relativement coûteuse et risquée. L'investissement dans un drone aquatique est une belle innovation qui pourra être partagée dans les autres centrales nucléaires ! » Fin stratège, Nicolas est également un passionné d'échecs. Il est notamment membre du club les Tours Givetoises depuis plus de 5 ans !
Correspondant drone : comme un poisson dans l'eau
En 2019, lors de la création d’un "Centre de compétences drones" par les équipes de la Division technique générale d'EDF, Nicolas devient correspondant drone de la centrale de Chooz. « Ce centre est un lieu d'échange d'idées et de bonnes pratiques au service de l'innovation basées sur l'utilisation des drones ». Lorsque sur le site de Chooz, l'idée est venue d'acquérir un drone aquatique afin de pouvoir réaliser un contrôle visuel des filtrages de la station de pompage, c'est Nicolas qui a été chargé d'échanger avec son réseau afin de trouver le matériel adéquat et rendre possible ce projet ! « L'opération de vérification des filtres de la station de pompage était jusqu’alors réalisée par des plongeurs : une opération relativement coûteuse et risquée. L'investissement dans un drone aquatique est une belle innovation qui pourra être partagée dans les autres centrales nucléaires ! » Fin stratège, Nicolas est également un passionné d'échecs. Il est notamment membre du club les Tours Givetoises depuis plus de 5 ans !
La centrale de Chooz fête la Nature !
Publié le 11/09/2020
À l'occasion de la fête de la Nature, la centrale de Chooz vous invite le mercredi 7 octobre 2020 de 10h à 12h et de 14h à 16h au Centre d’information du public, pour fêter la nature ! Au programme de cette demi-journée ludique et pédagogique : l’animation « Prenez-en de la graine » ! Partez pour une chasse au trésor sur le sentier de la Loutre à la recherche des sachets de graines dissimulés, puis, fabriquez un mangeoire pour oiseaux à emporter à la maison ! En fin d'animation, un goûter sera offert à l'ensemble des participants.
Ces animations sont entièrement gratuites et nécessitent une inscription préalable sur le site : www.edf.fr/visiteredf
Pour plus d’informations, contactez le Centre d’information du public de la centrale au +33(0)3.24.36.38.88 ou à l’adresse chooz-centre-information-du-public@edf.fr
PRÉVENTION COVID-19
Les animations se dérouleront dans le respect des nouvelles conditions sanitaires nationales. Le port du masque est obligatoire à partir de 11 ans, merci de vous présenter à l’animation muni de votre masque personnel. De la solution hydroalcoolique sera à votre disposition tout au long de l’animation.
> Ne manquez plus les animations proposées par la centrale ! Pensez à vous inscrire à notre Réseau des parents en envoyant un mail à l’adresse : chooz-communication@edf.fr
Ces animations sont entièrement gratuites et nécessitent une inscription préalable sur le site : www.edf.fr/visiteredf
Pour plus d’informations, contactez le Centre d’information du public de la centrale au +33(0)3.24.36.38.88 ou à l’adresse chooz-centre-information-du-public@edf.fr
PRÉVENTION COVID-19
Les animations se dérouleront dans le respect des nouvelles conditions sanitaires nationales. Le port du masque est obligatoire à partir de 11 ans, merci de vous présenter à l’animation muni de votre masque personnel. De la solution hydroalcoolique sera à votre disposition tout au long de l’animation.
> Ne manquez plus les animations proposées par la centrale ! Pensez à vous inscrire à notre Réseau des parents en envoyant un mail à l’adresse : chooz-communication@edf.fr
La centrale de Chooz fête la Science !
Publié le 08/09/2020
À l’occasion de la semaine de la Science, la centrale de Chooz vous invite le samedi 3 octobre de 10h à 12h ou de 14h à 16h au Centre d’information du public pour explorer le thème « Quelle relation entre l’Homme et la Nature ? »
Durant cette demi-journée ludique et pédagogique vous aurez l’occasion de participer à un atelier de construction afin de fabriquer une abeille solaire en bois. L’animation sera clôturée par l’incontournable goûter offert par la centrale !
Ces animations sont entièrement gratuites et nécessitent une inscription préalable sur le site : www.edf.fr/visiteredf
Pour plus d’informations, contactez le Centre d’information du public de la centrale au +33(0)3.24.36.38.88 ou à l’adresse chooz-centre-information-du-public@edf.fr
PRÉVENTION COVID-19
Les animations se dérouleront dans le respect des nouvelles conditions sanitaires nationales. Le port du masque est obligatoire à partir de 11 ans, merci de vous présenter à l’animation muni de votre masque personnel. De la solution hydroalcoolique sera à votre disposition tout au long de l’animation.
> Ne manquez plus les animations proposées par la centrale ! Pensez à vous inscrire à notre Réseau des parents en envoyant un mail à l’adresse : chooz-communication@edf.fr
Durant cette demi-journée ludique et pédagogique vous aurez l’occasion de participer à un atelier de construction afin de fabriquer une abeille solaire en bois. L’animation sera clôturée par l’incontournable goûter offert par la centrale !
Ces animations sont entièrement gratuites et nécessitent une inscription préalable sur le site : www.edf.fr/visiteredf
Pour plus d’informations, contactez le Centre d’information du public de la centrale au +33(0)3.24.36.38.88 ou à l’adresse chooz-centre-information-du-public@edf.fr
PRÉVENTION COVID-19
Les animations se dérouleront dans le respect des nouvelles conditions sanitaires nationales. Le port du masque est obligatoire à partir de 11 ans, merci de vous présenter à l’animation muni de votre masque personnel. De la solution hydroalcoolique sera à votre disposition tout au long de l’animation.
> Ne manquez plus les animations proposées par la centrale ! Pensez à vous inscrire à notre Réseau des parents en envoyant un mail à l’adresse : chooz-communication@edf.fr
Déclaration d’un événement significatif de niveau 1, sur l’échelle INES, relatif à l’indisponibilité simultanée de deux pompes d’un système de secours
Publié le 04/09/2020
Le 28 août 2020, l’unité de production n°1 est à l’arrêt, en raison du faible débit de la Meuse et conformément à l’accord transfrontalier France-Belgique, qui définit les critères de gestion concertée de l’eau de la Meuse.
A cette occasion, les équipes de la centrale réalisent une intervention sur plusieurs matériels situés sur une pompe du circuit de sauvegarde permettant d’assurer l’alimentation en eau des générateurs de vapeur et le refroidissement du cœur du réacteur en cas de perte des alimentations électriques.
En parallèle de cette activité, des travaux de resserrage d’un écrou sont lancés sur la deuxième pompe du circuit de sauvegarde, qui est rendue indisponible.
Les deux pompes du même circuit de secours ont ainsi été indisponibles simultanément durant 43 heures et 49 minutes, ce qui constitue un écart à nos spécifications techniques d’exploitation, recueil précisant les modes opératoires à respecter pour la conduite des installations nucléaires.
Cet événement n’a pas eu d’impact réel sur la sûreté, car d’autres circuits permettant le refroidissement du cœur en toute sûreté étaient restés disponibles.
La direction de la centrale de Chooz a déclaré cet événement à l’Autorité de Sûreté Nucléaire le 2 septembre 2020, comme événement significatif pour la sûreté au niveau 1 (anomalie) de l’échelle INES qui en compte 7, du fait de la détection tardive du cumul d’indisponibilités.
A cette occasion, les équipes de la centrale réalisent une intervention sur plusieurs matériels situés sur une pompe du circuit de sauvegarde permettant d’assurer l’alimentation en eau des générateurs de vapeur et le refroidissement du cœur du réacteur en cas de perte des alimentations électriques.
En parallèle de cette activité, des travaux de resserrage d’un écrou sont lancés sur la deuxième pompe du circuit de sauvegarde, qui est rendue indisponible.
Les deux pompes du même circuit de secours ont ainsi été indisponibles simultanément durant 43 heures et 49 minutes, ce qui constitue un écart à nos spécifications techniques d’exploitation, recueil précisant les modes opératoires à respecter pour la conduite des installations nucléaires.
Cet événement n’a pas eu d’impact réel sur la sûreté, car d’autres circuits permettant le refroidissement du cœur en toute sûreté étaient restés disponibles.
La direction de la centrale de Chooz a déclaré cet événement à l’Autorité de Sûreté Nucléaire le 2 septembre 2020, comme événement significatif pour la sûreté au niveau 1 (anomalie) de l’échelle INES qui en compte 7, du fait de la détection tardive du cumul d’indisponibilités.
Mise à l’arrêt de l’unité de production n°1 de la centrale de Chooz
Publié le 25/08/2020
Le lundi 24 août 2020 à 23h30, en raison des conditions climatiques actuelles, et conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique, les équipes de la centrale nucléaire de Chooz ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production n°1.
Pour rappel, l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités. Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges.
Lorsque la moyenne sur 12 jours glissants du débit aval journalier de la Meuse descend en dessous de 22m³/seconde, une unité de production doit être arrêtée. Si le débit sur 12 jours glissants passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent être mises à l'arrêt.
Le seuil de 20m³/seconde ayant été franchi, et afin de respecter l'accord transfrontalier, les équipes de la centrale de Chooz ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production n°1 le lundi 24 août 2020 à 23h30. Pour rappel, l’unité de production n°2 avait été arrêtée le vendredi 21 août 2020 à 00h30.
Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations. Pour mémoire, en termes de sûreté nucléaire, le débit de la Meuse nécessaire pour garantir le refroidissement des installations est de l'ordre de 6 m3/seconde. Cet arrêt est également sans impact sur la fourniture d'électricité, puisqu'il intervient dans un contexte de moindre demande.
La disponibilité de nos deux unités de production devrait être retrouvée dans les jours à venir, en fonction des prochains épisodes pluvieux.
Pour rappel, l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités. Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges.
Lorsque la moyenne sur 12 jours glissants du débit aval journalier de la Meuse descend en dessous de 22m³/seconde, une unité de production doit être arrêtée. Si le débit sur 12 jours glissants passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent être mises à l'arrêt.
Le seuil de 20m³/seconde ayant été franchi, et afin de respecter l'accord transfrontalier, les équipes de la centrale de Chooz ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production n°1 le lundi 24 août 2020 à 23h30. Pour rappel, l’unité de production n°2 avait été arrêtée le vendredi 21 août 2020 à 00h30.
Cette adaptation aux conditions climatiques n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations. Pour mémoire, en termes de sûreté nucléaire, le débit de la Meuse nécessaire pour garantir le refroidissement des installations est de l'ordre de 6 m3/seconde. Cet arrêt est également sans impact sur la fourniture d'électricité, puisqu'il intervient dans un contexte de moindre demande.
La disponibilité de nos deux unités de production devrait être retrouvée dans les jours à venir, en fonction des prochains épisodes pluvieux.
Mise à l'arrêt de l’unité de production n°2 de la centrale de Chooz
Publié le 21/08/2020
Le vendredi 21 Août 2020 à 00h30, en raison des conditions climatiques actuelles, et conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique, les équipes de la centrale nucléaire de Chooz ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production n°2.
L’accord transfrontalier entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités. Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges.
Lorsque la moyenne sur 12 jours glissants du débit aval journalier de la Meuse descend en dessous de 22m³/seconde, une unité de production doit être arrêtée. Si le débit sur 12 jours glissants passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent être mises à l'arrêt.
Le seuil de 22m³/seconde ayant été franchi, et afin de respecter l'accord transfrontalier, les équipes de la centrale de Chooz ont procédé cette nuit à la mise à l’arrêt de l’unité de production numéro 2 cette nuit.
Cette adaptation aux conditions climatiques réduit la quantité de MWh produits, mais n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations. Pour mémoire, en termes de sûreté nucléaire, le débit de la Meuse nécessaire pour garantir le refroidissement des installations est de l'ordre de 6 m3/seconde. Cet arrêt est également sans impact sur la fourniture d'électricité, puisqu'il intervient dans un contexte de moindre demande.
La disponibilité de l’unité de production numéro 2 devrait être retrouvée dans les jours à venir, en fonction des prochains épisodes pluvieux.
L'unité de production numéro 1 de la centrale de Chooz est à disposition du réseau électrique national.
L’accord transfrontalier entre la France et la Belgique détermine les seuils de débit d'eau de la Meuse pour permettre aux utilisateurs belges (industriels, acteurs du tourisme, collectivités locales, etc.) de disposer en permanence d'une ressource en eau suffisante pour le fonctionnement de leurs installations ou de leurs activités. Selon les modalités de cet accord, si le débit de la Meuse baisse en dessous de ces seuils, des mesures sont prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises, et conserver ainsi un niveau de débit suffisant pour les usages propres des utilisateurs belges.
Lorsque la moyenne sur 12 jours glissants du débit aval journalier de la Meuse descend en dessous de 22m³/seconde, une unité de production doit être arrêtée. Si le débit sur 12 jours glissants passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent être mises à l'arrêt.
Le seuil de 22m³/seconde ayant été franchi, et afin de respecter l'accord transfrontalier, les équipes de la centrale de Chooz ont procédé cette nuit à la mise à l’arrêt de l’unité de production numéro 2 cette nuit.
Cette adaptation aux conditions climatiques réduit la quantité de MWh produits, mais n’a pas de conséquence sur la sûreté des installations. Pour mémoire, en termes de sûreté nucléaire, le débit de la Meuse nécessaire pour garantir le refroidissement des installations est de l'ordre de 6 m3/seconde. Cet arrêt est également sans impact sur la fourniture d'électricité, puisqu'il intervient dans un contexte de moindre demande.
La disponibilité de l’unité de production numéro 2 devrait être retrouvée dans les jours à venir, en fonction des prochains épisodes pluvieux.
L'unité de production numéro 1 de la centrale de Chooz est à disposition du réseau électrique national.
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Chooz en perspective (Août / Septembre 2020)