Actualités
Déclaration d’un événement significatif de sûreté de niveau 1, lié au non-respect d’un délai d’intervention sur l’unité de production n°6 de la centrale de Gravelines
Publié le 22/02/2021
Durant la mise à l’arrêt du réacteur, un écart de mesure est identifié entre les deux matériels assurant le suivi en continu de la puissance nucléaire du réacteur. Le service automatisme engage alors un diagnostic technique afin d’en identifier l’origine.
Lorsque l’une des deux chaînes de mesure est indisponible, la conduite à tenir, décrite dans les spécifications techniques d’exploitation, impose une réparation du matériel sous trois jours.
La nature de l’intervention et sa localisation (intervention nécessaire dans le bâtiment réacteur au niveau du puits de cuve) n’ont pas permis de respecter le délai imposé par les spécifications techniques d’exploitation. Immédiatement, les équipes de conduite ont procédé à un changement d’état du réacteur n°6, qui a été passé en « arrêt normal sur le circuit de refroidissement du réacteur à l’arrêt » (AN/RRA).
Cet évènement n’a pas eu d’impact sur la sûreté des installations ni sur l’environnement. S’agissant d’un non-respect des spécifications techniques d’exploitation, la direction de la centrale nucléaire de Gravelines a déclaré cet événement auprès de l’Autorité de sûreté nucléaire le 19 février 2021 au niveau 1 sous l’échelle INES qui en compte 7.
Campagne d’alternance 2021 : A vos marques, prêts, postulez !
Publié le 19/02/2021
Ainsi, nous formerons en contrat d’apprentissage une dizaine de Bac Professionnels, une trentaine de BTS et une vingtaine de Licences, Master et Ingénieurs !
Depuis le 16 février, des offres sont publiées quotidiennement sur https://www.edf.fr/edf-recrute. A noter toutefois, qu’il est impératif de postuler sur cette plateforme car les candidatures seront examinées uniquement via ce site internet.
Visite Partielle CNPE Gravelines : un excellent début !
Publié le 19/02/2021
La réussite du jalon 22 qui consiste à la prise du premier élément combustible, 7 jours après la mise à l’arrêt du réacteur, est un challenge de tous les jours et pour tous les métiers.
Guillaume Tolosa, Chef d’arrêt, avait insisté sur ce point : « il est impératif de réussir le JAL22 dans les temps pour bien lancer l’arrêt ». Mission accomplie !
Qu’est-ce que ce fameux Jalon 22 ?
Il s’agit du jalon de prise du premier élément combustible du bâtiment réacteur vers le bâtiment combustible pour réaliser le déchargement. L’atteinte de ce jalon selon le planning prévu donne le bon tempo pour le déroulement d’un arrêt de tranche.


La réussite est encore au rendez-vous avec la tenue du chemin critique qui est l'ensemble des activités à accomplir afin que le projet soit terminé à la date définie. La méthode du chemin critique permet de savoir combien de temps prendra chaque tâche avant de finir le projet.
Cet arrêt a très bien débuté, la dynamique est en marche pour accomplir nos autres missions :
- L’Epreuve Hydraulique qui consiste à soumettre un circuit à une pression supérieure de 20 % à sa pression de calcul et constitue un test global de résistance.Elle permet de démontrer l’étanchéité de l’ouvrage et sa résistance à une pression limite.
- La Génératrice Inférieure qui consiste à vidanger l’intégralité du circuit primaire.
Ces succès sont d’ailleurs accompagnés d’une autre performance non négligeable : un accès libre du Bâtiment Réacteur dès le lundi 15/02 à 6 heures soit 2 jours après l’arrêt du réacteur.
Un accès libre, c’est une étape importante qui permet d’autoriser les travaux de maintenance sans qu’il y ait de restriction de personnel dans le Bâtiment Réacteur.
Autre point positif de la visite partielle : la production de demandes de régimes de consignation* qui permettent de pouvoir lancer l’activité de maintenance telle qu’elle a été planifiée.
*Régime de consignation : Permis de travailler sur une installation. Chaque fois qu'il est nécessaire de réaliser des travaux sur des ouvrages, le régime de consignation s'impose.
A la semaine prochaine pour un retour sur nos prochaines missions avec notamment la poursuite des travaux sur le circuit secondaire (partie non nucléaire de l’installation).
L’unité de production n°3 de nouveau connectée au réseau électrique national
Publié le 18/02/2021
L’unité de production n°3 du CNPE de Gravelines produit de nouveau de l’électricité à pleine puissance sur le réseau électrique national. Elle était à l’arrêt depuis le 12 septembre 2020 pour effectuer son examen périodique appelé « visite partielle ». Il consiste principalement à recharger le combustible et à effectuer un important programme de maintenance préventive.
Les travaux menés
En tout, 21 épreuves hydrauliques ont été réalisées sur des circuits et matériels spécifiques afin de s’assurer de l’étanchéité de l’installation. Des travaux de rénovation de pompes, tuyauteries et réseaux ont également été effectués.
Cet arrêt fut aussi l’occasion pour le site d’anticiper les travaux à mener dans le cadre de la 4ème visite décennale de l’unité de production en question, prévue quant à elle en 2022. Notamment, des contrôles de matériels et des enquêtes préalables mais également, le remplacement ou la rénovation de certains matériels mécaniques et électriques dont l’aptitude à résister à des évènements climatiques extrêmes est requise.
Sur le CNPE,
Les unités de production n°1,2, 4 produisent également à pleine puissance de l’électricité sur le réseau électrique nationale.
L’unité de production n°5 est à l’arrêt pour visite partielle depuis le 6 février dernier.
L’unité de production n°6 est à l’arrêt pour maintenance
[VIDEO] - EDF Gravelines s'engage, à vos côtés, pour la prospérité de notre territoire
Publié le 16/02/2021
Test en grandeur nature d'un nouveau circuit de refroidissement semi-mobile
Publié le 15/02/2021
C’est l’achèvement de 9 mois de travaux. Après avoir construit 100 mètres de nouvelles tuyauteries à l’intérieur du bâtiment combustible de l’unité de production n°1, effectué soudures et raccordements jusque la piscine d’entreposage, installé les branchements et portes coupe-feu à l’extérieur du bâtiment concerné, le jour du grand test est arrivé. Il a eu lieu le 2 février dernier et pour le coup, la presse locale et régionale était aux premières loges. Lumière sur un chantier emblématique dont la réalisation figure parmi les exigences du retour d'expérience de l'accident nucléaire de Fukushima.
Un nouveau circuit semi-mobile.
C’est un chantier emblématique car il illustre la nouvelle donne de la quatrième visite décennale. Une nouvelle installation capable de résister à des accidents climatiques extrêmes (ex.séisme) avec une construction à effectuer pendant que l’unité de production est en fonctionnement. Le principe : « Un dispositif ultime à n’utiliser qu’en cas d’accident majeur sur Gravelines » indique Stéphane, pilote du projet. Il poursuit, « imaginons qu’un séisme soit survenu, ce nouveau circuit serait intact. La Force d’Action Rapide du Nucléaire (FARN) interviendrait alors sur le site pour déployer environ 700 mètres de tuyauteries souples jusqu’au canal d’amenée, une pompe et un camion muni d’un échangeur, pour se brancher sur le nouveau circuit fixe du bâtiment hébergeant la piscine de combustible usé. Ainsi, par ce dispositif semi-mobile, cette piscine continuerait d’être refroidie quoiqu’il arrive ». Pour réaliser ce test, l'ensemble du dispositif mobile a été installé sur les 15 derniers jours de janvier.
Un plongeur pour le jour du grand test.
4h30, mardi 2 février dernier, l’heure est venue de tester ce nouveau dispositif semi-mobile. L’opération commence par l’intervention d’un plongeur de l’entreprise ONET dans la piscine d’entreposage du combustible pour obstruer le circuit assurant le refroidissement en condition normale d’exploitation.
5h00, la bascule s’effectue sur le nouveau circuit semi-mobile. La tension est palpable. Les branchements sont effectués à l’arrière du bâtiment combustible, la pompe se met en route au niveau du canal d’amenée, l’eau pompée circule jusqu’à l’échangeur thermique mobile et refroidie celle du nouveau circuit fixe.
7h00, victoire ! Le dispositif fonctionne.
Cette belle aventure industrielle est une première étape franchie avec succès pour la VD4 de l’unité de production n°1 dont l’arrêt est prévu au 14 août prochain. Bravo aux équipes du site et aux équipes partenaires.
Mise à l’arrêt programmée de l’unité de production n°6.
Publié le 14/02/2021
Cette décision fait suite à la détection d’une anomalie sur l’une des cinq sources d’alimentation électrique de l’unité. Les quatre autres sources d'alimentation électrique sont disponibles, conformes et opérationnelles. Néanmoins, conformément à l’application des règles générales d’exploitation, la production a été stoppée.
Les équipes du site sont mobilisées pour effectuer les travaux sur le câble d’alimentation concerné.
Cet évènement n’a aucune incidence sur la sûreté des installations.
Les unités de production d’électricité n°1,2 et 4 produisent actuellement de l’électricité sur le réseau électrique national.
L’unité de production n°3 est en phase de redémarrage.
L’unité de production n°5 est à l’arrêt pour maintenance préventive.
NUCLEI Hauts-de-France : le « booster » des entreprises régionales !
Publié le 11/02/2021
Comment développer l’activité économique et l’emploi en Hauts-de-France ? « Nucléi est un programme de développement économique des entreprises de la filière nucléaire en Hauts-de-France», explique Philippe Stahl, chargé de mission Nucléi Hauts-de-France*. Nucléi facilite l’accès des entreprises régionales aux marchés liés à l’activité du CNPE, en direct ou en sous-traitance et les accompagne dans leur découverte du secteur et leur montée en compétence. C’est toute une filière qui est ainsi dynamisée et valorisée !
Par la mise en contact des PME régionales (plus de 250 à ce jour) avec les apporteurs d’affaires de la filière nucléaire, Nucléi favorise le business de toutes les parties. Car une entreprise, qu’elle soit « grande » ou « petite », peut fournir des compétences utiles au secteur du nucléaire et notamment à notre site.
Les activités liées à notre programme industriel sont autant d’opportunités à saisir pour le territoire.
Le 25 mars, des rencontres d’affaires « Rencontres Business Marché Nucléaire » sont organisées pour faciliter la relation d’affaires entre les entreprises inscrites. Au programme : le calendrier industriel du CNPE de Gravelines et de FRAMATOME à Jeumont... Les présentations sous forme de webinaire aborderont entre-autres les conditions d’accès aux marchés de ces deux grands donneurs d’ordres.
* Philippe STAHL - Chargé de Mission NUCLEI Hauts-de-France
philippe.stahl@edf.fr 06 30 95 27 41
** Le Programme Industriel de Gravelines c’est 23 projets sur 7 ans dont les plus structurants sont liés directement aux modifications de matériels à réaliser dans le cadre de la quatrième visite décennale (VD4), aux chantiers post-Fukushima et au remplacement des gros composants, à l’image du générateur de vapeur…
Plus d’informations sur : https://nuclei.fr/
Arrêt programmé de l’unité de production n°5 pour visite partielle
Publié le 10/02/2021
Une Visite Partielle, qu'est-ce que c'est ?
La visite partielle est consacrée au rechargement du combustible (1/3), mais aussi à un important programme périodique de maintenance qui permet notamment de remplacer à titre préventif certains gros composants. Les visites partielles sont effectuées en alternance avec les ASR : Arrêts pour Simple Rechargement (du combustible).
Le mot de Lionel Rousselle, Chef de projet Arrêt de Tranche
Le déchargement donne le tempo de l’arrêt. La maîtrise et la fluidité des enchainements du 1er jalon (prise du premier élément combustible) sont essentielles.
L’objectif est d’impliquer tous les collaborateurs pour débuter le déchargement 7 jours après le découplage du réseau électrique national.
En parallèle, nous devons garder à l’esprit nos objectifs de 0 accident et 0 Evénement Sûreté Sécurité.
En se mobilisant tous, nous mettons toutes les chances de notre côté pour accomplir notre mission avec brio et mettre l’arrêt sur de bons rails !
Les chantiers majeurs
Sur le circuit primaire (zone nucléaire)
Prise du 1er élément combustible le samedi 13 février à 23h00
Réussir nos épreuves hydrauliques (cette épreuve consiste à monter la pression du circuit primaire à 206 bars pour vérifier son étanchéité)
Ajout de nouvelles technolgies plus récentes
Ajout de nouveaux capteurs
Réussir nos travaux sur la Génératrice Inférieure
...
Sur le circuit secondaire (hors zone nucléaire)
Renforcement des boites à eau (arrivées d'eau de mer dans le condenseur) : Une 1ère dans une centrale nucléaire
Remplacement de tuyauteries corrodées entrant dans le génie civil
Réussir les épreuves hydrauliques secondaires
...
Le calendrier
6 février : Début de l'arrêt du réacteur
Déchargement du combustible (prise du 1er élément)
Rechargement du combustible (1er élement) suivi du redémarrage
Couplage au réseau
Le mot du Chef d'Arrêt Guillaume Tolosa
La Visite Partielle 5 est le premier arrêt de la campagne qui va donner le tempo de la campagne 2021. Cet arrêt est marqué par l’intégration de nouvelles prescriptions. Nous devrons faire preuve de vigilance sur nos automatismes et la gestion des fortuits.
Concentration et dextérité : les maîtres-mots d’une soudure réussie !
Publié le 04/02/2021
[Portrait] Olivier Clercq (Chef de chantier ENDEL en charge du chantier EASU) et Grégory Bendre (Soudeur de la société ENDEL) livrent leur témoignage pour apporter des éclaircissements sur cette activité loin d’être à la portée de tout le monde !Grégory, être soudeur sur le chantier EASU1, ça consiste en quoi au juste ?
Le rôle du soudeur (on en dénombre 6 sur le chantier EASU) consiste à raccorder l’ensemble des tuyauteries que son binôme, le tuyauteur a préparées. Bien entendu, ce « duo » peut être renforcé en fonction de la complexité de la tuyauterie à raccorder : en cas de traversée de mur, d’environnement exigu ou de charge importante par exemple. En effet, avant de commencer à souder, il faut d’abord procéder à l’accostage du tronçon de tuyauterie. Cette manipulation qui doit être effectuée avec le plus de précision possible permettra au soudeur de réaliser une soudure homogène et sans défaut. La précision d’accostage est définie au millimètre près. La tolérance d’accostage est déterminée en fonction des dimensions de la tuyauterie : plus le diamètre est élevé plus grande sera la tolérance et inversement.
Olivier, Grégory, pouvez-vous nous décrire une « intervention type » ?

Par exemple pour un poste du matin, les tuyauteries à raccorder seront généralement préparées la veille. En effet, l’assemblage des tuyauteries par opération de soudage nécessite de pouvoir réaliser une soudure sur la totalité de l’épaisseur pour assurer une continuité mécanique de l’assemblage. Pour cela, un chanfrein est réalisé en bout des éléments à assembler en amont de l’opération de soudage : c’est le travail du tuyauteur. Ensuite, avant de pouvoir « pointer2» les tuyauteries, il faut y insérer des « chambres » qui ont pour but de déplacer l’air présent dans l’ensemble de la tuyauterie : on dit alors que la tuyauterie est inertée au soudage. Sans cette étape, nous nous exposons à un risque de rochage3 qui constitue un défaut rédhibitoire (entrainant une non-conformité de la soudure) dans les procédures RCC-M4 auxquelles est soumis le chantier EASU.
L’étape suivante consiste au contrôle dimensionnel5 qui garantira que les tuyauteries sont bien concentriques entre-elles avant d’entamer l’accostage, le pointage et le soudage TIG6.
Lors du soudage, quelles sont vos priorités ?
Nous attachons une attention toute particulière à la qualité et la conformité de notre matériel avant et pendant toute la durée du soudage. Il y a énormément de paramètres à vérifier constamment… Par exemple, lors du soudage un collègue peut par inadvertance marcher sur un boyau d’alimentation en gaz ou retirer la chambre, il peut y avoir également des dépressions lors des ouvertures/fermetures de portes qui sont autant de facteurs pouvant entrainer un « loupé » de la soudure…
« Ce domaine est tellement particulier qu’il faut constamment se contrôler. La soudure requiert une vigilance de chaque instant ! », insiste Olivier…
Pour pallier au maximum aux risques de défaut, des contrôles sont effectués pendant le soudage. Pour vous donner une idée, le soudeur fait un contrôle de température entre les différentes passes afin de s’assurer de ne pas altérer et dénaturer la matière des éléments de tuyauterie pouvant survenir en cas de variation de température. De la même manière il faut respecter les réglages ampère-métriques du poste à souder et cela conformément au mode opératoire associé au type de soudure en cours. Le non-respect de ces critères peut entraîner une non-conformité de la soudure !
Selon vous, c’est quoi une bonne soudure ?
« Seul le tir radio pourra nous rassurer sur la qualité de la soudure ! »

La limite du contrôle ressuage est qu’il ne détectera que les défauts surfaciques… C’est pourquoi, l’étape ultime pour s’assurer de la conformité de la soudure sera le tir radio auquel rien n’échappe !
1 Lire notre article « Chantier EASU : L’échangeur est en place pour l’unité de production n°1 ! »
2 Le pointage est l'étape préliminaire nécessaire avant toute opération de soudage. Ce pointage doit être réalisé correctement pour obtenir un résultat final optimal de la soudure en minimisant les défauts de soudage. Lorsque toutes les pièces et éléments nécessaires sont débités et chanfreinés et que leur positionnement est conforme au plan, le pointage permet la solidarisation des différentes pièces. Le réglage, le parallélisme et l'alignement parfait des éléments et le respect des jeux entre chanfreins s’effectue par la réalisation de points de soudure, c’est ce qu’on appelle : le pointage ! Les points de soudure réalisés sont judicieusement placés et alternativement soudés pour contrecarrer les déformations et permettre un alignement correct, un nivellement des surfaces et un positionnement parfait des éléments à souder.
3 Le Rochage se caractérise par un aspect spongieux et noirâtre de la soudure (aspect de pierre ponce). Il est la conséquence d'une réaction de l'oxydation à chaud du bain de fusion au contact de l'oxygène de l'air ambiant sur les aciers inoxydables principalement.Il y a rochage lors du soudage lorsque la protection gazeuse inerte (appelée aussi chambre) n'est pas efficace ou bien encore est absente.
4 Le RCC-M (Règle de Conception et de Construction des Matériels mécaniques) est le code français qui définit les règles de conception et de construction des matériels mécaniques des îlots nucléaires des Réacteurs à Eau pressurisée)
5 Un ensemble de contrôles sont effectués tout au long de ces étapes par un contrôleur technique. Ce dernier intervient sur l’ensemble des contrôles visuels et dimensionnels effectués avant et après soudage : Bref c’est lui qui donne l’accord de soudabilité ou non !
6 La technique de soudage Tungsten Inert Gas est un soudage par arc avec protection gazeuse et complément de métal d’apport. Le procédé est de plus en plus utilisé car il offre l’avantage d’être peu bruyant, de dégager très peu de fumée et de projections : c’est une technique de soudage efficace et très propre !
- 1 sur 20
- page suivante