Même si les technologies sont éprouvées, la G1 souffre cependant d' un niveau d' incorporation aux carburants fossiles limité, compte tenu de sa compétition avec l' alimentaire. Le bilan des émissions de GES, tenant compte de la culture de la ressource, de son transport et de sa conversion, fait apparaître une réduction de 45 % à 60 % pour la première génération par rapport à carburants fossiles.