Depuis le début de la crise, dans les usines hydroélectriques, seuls les salariés d' astreinte sont aujourd' hui physiquement sur place. Nous avons tous mis ici à centre de conduite, comme nos homologues, beaucoup d' énergie pour permettre la continuité d' activité. "Si nous avions une défaillance, les 37 usines que nous pilotons devront reprendre la conduite sur terrain, tous les techniciens d' exploitation sur site devront remonter le quart et conduire à notre place.