Le maître mot, c' est résilience, c' est essayer de faire des calculs, de prévoir ce qui peut se passer, de prendre des marges, et puis, très modestement, périodiquement, de réévaluer ce qui peut se passer, pour donner un exemple, par exemple, sur les crues, sur nos grosses installations sensibles, un sur nos centrales, nous ne prenons pas des crues milléniales, mais des crues décamilléniales, donc tous les 10 000 ans, nous prenons un coefficient de marge par dessus, de ordre de une quinzaine de pourcent, et nous regardons malgré tout ça ce qui peut se passer.