La ministre a précisé qu' il s' agissait de réviser" une petite minorité de contrats, on parle de 800 contrats sur les 235 000 qui existent, et qui concernent des installations déjà amorties, qui ont bénéficié d' un rendement du capital parfois supérieur à 20 % aux frais du contribuable. "On voit, ces derniers mois, se développer les contrats de performance énergétique pour pouvoir garantir aux industriels la baisse de leurs consommations énergétiques et la baisse de leurs émissions carbone.