Comme ce fut le cas en 2022, le programme industriel de l’année 2023 sera chargé à la centrale, avec notamment la visite partielle de l’unité de production n°1, qui débutera fin février pour plusieurs mois.
Le programme de maintenance de cet arrêt programmé sera très dense, avec 13 000 activités programmées, mobilisant près de 2 000 salariés d’entreprises partenaires aux côtés des équipes EDF de la centrale. Les chantiers se dérouleront en parallèle dans la partie nucléaire et non nucléaire de l’installation (visuels ci-dessous avec les principaux chantiers).
« Cette visite partielle et les nombreux chantiers qu’elle comporte constitue un véritable challenge industriel, explique Léopold, chef de projet d’arrêt. Nous bénéficions du retour d’expérience de la visite de l’unité n°2 qui s’est terminée fin décembre 2022, ce qui permettra d’optimiser encore la réalisation des activités identiques. Mais cet arrêt comporte aussi des activités supplémentaires comme l’inspection de la cuve du réacteur ou encore la visite de l’alternateur. Nous préparons ces interventions depuis plusieurs mois avec nos partenaires industriels.
La recherche d’amélioration continue dans les domaines de la sûreté, de la sécurité, de la radioprotection et encore de l’environnement est dans l’ADN de nos équipes. La réussite de cet arrêt de longue haleine repose sur le professionnalisme et l’implication de tous les acteurs, salariés EDF et prestataires. »
Les opérations de maintenance, les modifications matérielles et les contrôles effectués lors des arrêts programmés permettent à la centrale d’améliorer en permanence ses performances.

