Retours sur deux chantiers phares de l’arrêt pour maintenance
Publié le 05/11/2019
Depuis le 21 septembre 2019, l’unité de production n°2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent est en arrêt programmé pour recharger un tiers de combustible neuf et entreprendre des opérations de maintenance. Parmi elles, figurent la substitution d’un fluide dans un circuit en salle des machines et le remplacement du système de détection incendie du site. Zoom sur ces deux chantiers phares.

Un chantier d’ampleur en salle des machines
D’ici 2028, le site de Saint-Laurent, comme les autres centrales EDF, doit cesser tout recours à l’huile Fyrquel classée CMR (cancérigène, mutagène, reprotoxique). Elle est principalement utilisée dans un circuit de la salle des machines, zone non nucléaire des installations, pour le fonctionnement des systèmes de régulation de la turbine. Pour respecter dans les temps la règlementation, les salariés ont d’ores et déjà débuté cette activité. En effet, pour que le nouveau fluide non-CMR ne soit pas trop altéré par des résidus de l’ancienne huile, l’équipe de Saint-Laurent doit vidanger et rincer le circuit à plusieurs reprises. « Des étapes qui se sont bien déroulées grâce à l’implication de tous les intervenants et aux parades mises en place contre le risque incendie et le risque environnement » expliquent Lara et Dominique, en charge du pilotage de ce dossier.
La rénovation du système incendie du site
Ce chantier du programme grand carénage* a démarré pendant l’arrêt pour simple rechargement de l’unité de production n°2. Il s’agit du remplacement du système de détection incendie de l’ensemble des locaux industriels et tertiaires. La pose des nouveaux détecteurs a été réalisée dans le bâtiment réacteur pendant cet arrêt, car c’est le seul moment durant lequel le bâtiment est accessible aux salariés. L’opération se poursuivra dans les bâtiments tertiaires tout au long de l’année 2020 et pour l’unité de production n°1 lors de son arrêt pour simple rechargement en 2020.
Compte tenu de l’ampleur des travaux, les équipes de Saint-Laurent sont appuyées par un Groupement momentané d’entreprises spécialisées (GME). Plus d’une cinquantaine de personnes est mobilisée sur ce chantier.
Le chantier en quelques chiffres :
• 1 623 détecteurs à remplacer d’ici décembre 2021
• 140 km de câbles à tirer
• une cinquantaine de personnes mobilisées
* C’est le programme industriel du parc nucléaire existant en France visant la prolongation de la durée de fonctionnement des unités de production après 40 ans.

Un chantier d’ampleur en salle des machines
D’ici 2028, le site de Saint-Laurent, comme les autres centrales EDF, doit cesser tout recours à l’huile Fyrquel classée CMR (cancérigène, mutagène, reprotoxique). Elle est principalement utilisée dans un circuit de la salle des machines, zone non nucléaire des installations, pour le fonctionnement des systèmes de régulation de la turbine. Pour respecter dans les temps la règlementation, les salariés ont d’ores et déjà débuté cette activité. En effet, pour que le nouveau fluide non-CMR ne soit pas trop altéré par des résidus de l’ancienne huile, l’équipe de Saint-Laurent doit vidanger et rincer le circuit à plusieurs reprises. « Des étapes qui se sont bien déroulées grâce à l’implication de tous les intervenants et aux parades mises en place contre le risque incendie et le risque environnement » expliquent Lara et Dominique, en charge du pilotage de ce dossier.
La rénovation du système incendie du site
Ce chantier du programme grand carénage* a démarré pendant l’arrêt pour simple rechargement de l’unité de production n°2. Il s’agit du remplacement du système de détection incendie de l’ensemble des locaux industriels et tertiaires. La pose des nouveaux détecteurs a été réalisée dans le bâtiment réacteur pendant cet arrêt, car c’est le seul moment durant lequel le bâtiment est accessible aux salariés. L’opération se poursuivra dans les bâtiments tertiaires tout au long de l’année 2020 et pour l’unité de production n°1 lors de son arrêt pour simple rechargement en 2020.
Compte tenu de l’ampleur des travaux, les équipes de Saint-Laurent sont appuyées par un Groupement momentané d’entreprises spécialisées (GME). Plus d’une cinquantaine de personnes est mobilisée sur ce chantier.
Le chantier en quelques chiffres :
• 1 623 détecteurs à remplacer d’ici décembre 2021
• 140 km de câbles à tirer
• une cinquantaine de personnes mobilisées
* C’est le programme industriel du parc nucléaire existant en France visant la prolongation de la durée de fonctionnement des unités de production après 40 ans.