Déclaration d’un événement environnement : détection de traces d’hydrocarbure sur le site de Saint-Laurent A
Publié le 03/08/2018
Dans le cadre du démantèlement des deux unités de Saint-Laurent A, le site mène, depuis plusieurs années, un travail de caractérisation des sols avec pour finalité la réhabilitation du terrain.
Début 2018, deux piézomètres temporaires ont été installés, pour examiner la nappe au niveau de la zone des anciens transformateurs de Saint-Laurent A (zone terrestre précédemment marquée à l’hydrocarbure).
Les premiers prélèvements réalisés début 2018 n’ont pas montré de marquage de la nappe. Cependant, les prélèvements réalisés en mai et juin, ont décelé des traces d’hydrocarbure dans la nappe à la verticale de la zone terrestre historiquement marquée. Les derniers prélèvements de fin juin et juillet témoignent d’un retour à la normale.
L’hypothèse avancée pour expliquer ces traces intermittentes d’hydrocarbure dans la nappe est le lessivage des sols dû aux brefs épisodes de fortes précipitations qui ont précédé les prélèvements. Un suivi renforcé de la nappe a été mis en place. L’ensemble des prélèvements en nappe effectués en aval et en amont de la zone marquée mettent en évidence l’absence d’hydrocarbure, cela démontre que le marquage reste localisé et n’a donc pas d’impact en dehors de la zone identifiée.
Les équipes ont immédiatement travaillé sur un plan de gestion des sols visant à assainir la zone. Ce plan de gestion sera présenté cette année à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
L’événement a été déclaré à l’ASN par la direction du site en déconstruction le 20 juin 2018 comme événement significatif environnement.
Début 2018, deux piézomètres temporaires ont été installés, pour examiner la nappe au niveau de la zone des anciens transformateurs de Saint-Laurent A (zone terrestre précédemment marquée à l’hydrocarbure).
Les premiers prélèvements réalisés début 2018 n’ont pas montré de marquage de la nappe. Cependant, les prélèvements réalisés en mai et juin, ont décelé des traces d’hydrocarbure dans la nappe à la verticale de la zone terrestre historiquement marquée. Les derniers prélèvements de fin juin et juillet témoignent d’un retour à la normale.
L’hypothèse avancée pour expliquer ces traces intermittentes d’hydrocarbure dans la nappe est le lessivage des sols dû aux brefs épisodes de fortes précipitations qui ont précédé les prélèvements. Un suivi renforcé de la nappe a été mis en place. L’ensemble des prélèvements en nappe effectués en aval et en amont de la zone marquée mettent en évidence l’absence d’hydrocarbure, cela démontre que le marquage reste localisé et n’a donc pas d’impact en dehors de la zone identifiée.
Les équipes ont immédiatement travaillé sur un plan de gestion des sols visant à assainir la zone. Ce plan de gestion sera présenté cette année à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
L’événement a été déclaré à l’ASN par la direction du site en déconstruction le 20 juin 2018 comme événement significatif environnement.