Une programmation pluriannuelle des arrêts pour maintenance à la centrale
Publié le 12/11/2019
Voir loin, voir juste… telle est la mission principale de l’équipe de la section « pluriannuel » de la centrale. En effet, Thomas, chef de projet, et ses collègues construisent les contenus des futurs arrêts programmés pour maintenance, en se projetant sur les 10 prochaines années glissantes. L’élaboration de ce programme pluriannuel est réalisée tous les ans fin octobre.
Selon leur typologie (arrêt pour simple rechargement, visite partielle, visite décennale) et donc leur durée, les ingénieurs construisent le contenu des futurs arrêts : intégration des activités les plus importantes (en termes de durée et d’enjeux pour la sûreté) et planification des modifications des matériels. La construction de ce planning tient compte de nombreux paramètres : les stratégies de maintenance, les exigences règlementaires, la disponibilité des ressources (certaines activités spécifiques nécessitent le recours à des experts), … Un travail de plusieurs mois, qui associe les référents métiers des différentes spécialités de la centrale (mécaniciens, robinetiers, chaudronniers, automaticiens…).
« Pour les 10 années qui viennent, nous devons notamment planifier de très grosses activités de maintenance telles que le remplacement des générateurs de vapeur ou encore les échanges standard des hydrauliques des moteurs des pompes du circuit primaire, explique Elodie, qui travaille sur la construction de ce programme pluriannuel. Pour embarquer ces activités d’envergure sur les arrêts tout en respectant leur durée cible, nous devons optimiser et lisser la charge. Nous devons veiller en permanence à équilibrer le volume de maintenance, de manière à ce qu’il soit le mieux réparti possible entre deux arrêts de même typologie ».
La préparation des arrêts pour maintenance est une condition-clé de leur réussite. Elle permet de garantir que les installations améliorent en permanence leur performance de production et de sûreté. Un objectif auquel l’équipe du pluriannuel contribue pleinement.
Selon leur typologie (arrêt pour simple rechargement, visite partielle, visite décennale) et donc leur durée, les ingénieurs construisent le contenu des futurs arrêts : intégration des activités les plus importantes (en termes de durée et d’enjeux pour la sûreté) et planification des modifications des matériels. La construction de ce planning tient compte de nombreux paramètres : les stratégies de maintenance, les exigences règlementaires, la disponibilité des ressources (certaines activités spécifiques nécessitent le recours à des experts), … Un travail de plusieurs mois, qui associe les référents métiers des différentes spécialités de la centrale (mécaniciens, robinetiers, chaudronniers, automaticiens…).
« Pour les 10 années qui viennent, nous devons notamment planifier de très grosses activités de maintenance telles que le remplacement des générateurs de vapeur ou encore les échanges standard des hydrauliques des moteurs des pompes du circuit primaire, explique Elodie, qui travaille sur la construction de ce programme pluriannuel. Pour embarquer ces activités d’envergure sur les arrêts tout en respectant leur durée cible, nous devons optimiser et lisser la charge. Nous devons veiller en permanence à équilibrer le volume de maintenance, de manière à ce qu’il soit le mieux réparti possible entre deux arrêts de même typologie ».
La préparation des arrêts pour maintenance est une condition-clé de leur réussite. Elle permet de garantir que les installations améliorent en permanence leur performance de production et de sûreté. Un objectif auquel l’équipe du pluriannuel contribue pleinement.