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Portrait métier : Arnaud, ingénieur sûreté : l’appui-conseil sûreté du projet d’arrêt et des métiers

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Publié le 20/03/2020

A quelques semaines de la mise à l’arrêt de l’unité n°1 pour une visite partielle, les équipes de pilotage du projet et leurs partenaires industriels sont mobilisés pour finaliser la préparation. Au sein de l’équipe, Arnaud, ingénieur sûreté, est en appui-conseil aux différents interlocuteurs pour toutes les questions relatives aux exigences de sûreté. Rencontre avec ce jeune grenoblois, arrivé sur le site à l’été 2019.

Arnaud, peux-tu nous décrire les grandes lignes de ton parcours professionnel ?

Après mon DUT Génie thermique, passé à Grenoble, ma ville natale, j’ai rejoint une école d’ingénieurs à Orléans. J’ai été pré-recruté par EDF un an avant la fin de mon cursus et j’ai effectué ma dernière année d’études à Saclay, en spécialité nucléaire. Après mon stade de fin d’études à la centrale de Paluel, j’ai été embauché sur le site comme ingénieur sûreté, en 2012, un poste que j’ai occupé pendant 2 ans et demi. J’ai ensuite basculé côté projet d’arrêt en tant qu’ingénieur sûreté d’arrêt de tranche (ISAT), et j’ai participé aux 3èmes visites décennales du site.
En arrivant sur le site de Saint-Alban en août 2019, je n’ai pas été dépaysé… ni par la région iséroise, ni par le poste, puisque le périmètre du métier d’ISAT est quasiment identique entre Paluel et Saint-Alban.

Mes premiers mois au sein du service sûreté qualité et l’intégration dans l’équipe d’arrêt pour la préparation de la visite partielle de l’unité n° 2 à l’automne dernier, m’ont permis de me familiariser avec l’organisation du site et de faire connaissance avec les salariés et les métiers.

En quoi consiste ton métier en phase de préparation d’arrêt, c’est-à-dire en ce moment ?

L’ISAT est le représentant du service sûreté qualité au sein du projet d’arrêt, c’est la courroie de transmission en quelque sorte. A ce titre, en phase de préparation, comme pendant l’arrêt, j’apporte un appui-conseil au projet et aux métiers pour toutes leurs questions en lien avec la sûreté.

Je participe à l’élaboration du planning et je valide le calage des activités sous l’angle sûreté. Cette visite partielle sera très dense en termes d’activités, avec un volume très important de modifications à intégrer sur les installations, notamment au niveau du contrôle commande. Toutes ces activités portent des enjeux forts au niveau sûreté nucléaire. Pour accompagner les métiers concernés et le projet, j’anime des sessions de sensibilisation aux nouvelles exigences.

Et pendant l’arrêt, quel rôle joue l’ISAT ?

J’intègre le roulement de l’équipe de pilotage du projet en horaires décalés en phase de mise à l’arrêt et de redémarrage, avec des horaires en journée entre les 2 périodes.

Mes journées sont rythmées par la participation aux réunions de suivi du projet, la préparation et l’animation des commissions de sûreté liés aux changements d’état du réacteur et ma mission d’appui-conseil au projet et aux métiers. Lors du redémarrage, nous validons que le matériel requis au titre des règles d’exploitation est disponible et pleinement opérationnel avant d’autoriser la poursuite des opérations.

Qu’est-ce qui te plait dans ton job ?

Le métier d’ISAT répond complètement aux critères qui m’attirent pour deux raisons principales : le travail en mode projet et le rythme des journées.

Le fonctionnement en équipe qu’implique le mode projet me correspond tout à fait : chacun peut être utile à l’autre. Mon rôle d’appui-conseil donne tout son sens à ma relation avec les autres.

Ce qui me plaît également, c’est le rythme : j’aime bien quand ça bouge et qu’il y a un challenge collectif à relever. Vivre un arrêt de tranche, c’est tout à fait ça… et c’est ce qui rend le métier passionnant à mes yeux.

As-tu un hobbie, une passion dans la vie ?

Passionné de judo, j’ai fait de la compétition par le passé. Suite à une blessure au genou, j’ai dû laisser cela de côté et je pratique désormais le sport en mode loisir, ce qui me correspond finalement très bien. Je fais également de la course à pied et me suis inscrit dans un club en arrivant à Saint-Alban.

Le sport est un formidable vecteur de rencontres et de partage. Dans mes loisirs comme dans ma vie professionnelle, je privilégie la richesse des échanges à la recherche de performance individuelle.

Comme Arnaud, 20 ingénieurs et auditeurs sont réunis au sein du service sûreté qualité de la centrale. Leur travail est d’évaluer quotidiennement le niveau de sûreté de l’exploitation et de confronter leur évaluation avec celle réalisée, selon une méthode différente, par les responsables des services d’exploitation des réacteurs nucléaires.
En parallèle à ces évaluations, les auditeurs et ingénieurs sûreté du service sûreté qualité ont réalisé, en 2019, plus de 102 opérations d’audit et de vérification.

 
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