Découvrez Jean-Charles Valet, agent de terrain à la conduite !
Publié le 02/08/2018
C’est ton premier job. Pourquoi avoir choisi EDF et particulièrement la conduite ?
J’ai suivi un parcours académique très orienté technique notamment en électricité et en sciences de l’automatisme et de la régulation que j’ai réalisé en alternance au centre de production de Belleville-Sur-Loire. C’est à ce moment-là que j’ai découvert l’univers d’une centrale nucléaire et le travail de technicien d’exploitation dans une équipe en 3x8. Pourquoi EDF ? Et bien avec un cursus en Electrotechnique, EDF représente un peu le « graal », tant sur la technicité de la machine que sur les missions réalisées au quotidien. Je cherchais également une entreprise qui puisse proposer un parcours professionnel riche et varié.
Et Saint-Alban dans tout ça ?
Je suis à Saint-Alban depuis 2014, intégré dans l’équipe A sur l’unité n°1. Ce qui me plait dans mon job c’est la variété des missions et la diversité des matériels sur lesquels on intervient : pompes, cellules électriques, vannes, ventilateurs… cela demande un champ de compétences très large. Ce qui est d’autant plus vrai lors des arrêts de production. J’ai eu la chance d’être détaché au service des arrêts lors des visites décennales, principalement sur les activités liées au poste d’eau en salle des machines (partie secondaire de l’installation). Ces missions m’ont permis de rencontrer de nouvelles personnes et de travailler de manière plus transverse avec d’autres métiers. J’ai pu découvrir les coulisses d’un arrêt et intervenir sur des activités rares comme sur le système de circuit d’huile d’étanchéité de l’alternateur. La grande différence que j’ai trouvé avec le temps réel de l’exploitation, c’est de pouvoir réaliser une tâche dans son intégralité comme la mise en pression de l’alternateur par exemple.
Comment vois-tu la suite de ta carrière ?
J’ai encore beaucoup de choses à apprendre à la conduite mais l’exploitation en journée ou les arrêts m’attirent tout particulièrement. Cela me permettrait de voir la face cachée des activités que l’on réalise en 3x8 : la préparation, les contraintes planning, la prise en compte du retour d’expérience…
J’ai suivi un parcours académique très orienté technique notamment en électricité et en sciences de l’automatisme et de la régulation que j’ai réalisé en alternance au centre de production de Belleville-Sur-Loire. C’est à ce moment-là que j’ai découvert l’univers d’une centrale nucléaire et le travail de technicien d’exploitation dans une équipe en 3x8. Pourquoi EDF ? Et bien avec un cursus en Electrotechnique, EDF représente un peu le « graal », tant sur la technicité de la machine que sur les missions réalisées au quotidien. Je cherchais également une entreprise qui puisse proposer un parcours professionnel riche et varié.
Et Saint-Alban dans tout ça ?
Je suis à Saint-Alban depuis 2014, intégré dans l’équipe A sur l’unité n°1. Ce qui me plait dans mon job c’est la variété des missions et la diversité des matériels sur lesquels on intervient : pompes, cellules électriques, vannes, ventilateurs… cela demande un champ de compétences très large. Ce qui est d’autant plus vrai lors des arrêts de production. J’ai eu la chance d’être détaché au service des arrêts lors des visites décennales, principalement sur les activités liées au poste d’eau en salle des machines (partie secondaire de l’installation). Ces missions m’ont permis de rencontrer de nouvelles personnes et de travailler de manière plus transverse avec d’autres métiers. J’ai pu découvrir les coulisses d’un arrêt et intervenir sur des activités rares comme sur le système de circuit d’huile d’étanchéité de l’alternateur. La grande différence que j’ai trouvé avec le temps réel de l’exploitation, c’est de pouvoir réaliser une tâche dans son intégralité comme la mise en pression de l’alternateur par exemple.
Comment vois-tu la suite de ta carrière ?
J’ai encore beaucoup de choses à apprendre à la conduite mais l’exploitation en journée ou les arrêts m’attirent tout particulièrement. Cela me permettrait de voir la face cachée des activités que l’on réalise en 3x8 : la préparation, les contraintes planning, la prise en compte du retour d’expérience…