Sur le pont : les labos
Publié le 17/06/2020
Le service chimie a un rôle essentiel pour le fonctionnement et la sûreté des installations à la centrale nucléaire de Penly. Elle s’inscrit dans le Plan de continuité d’activité (PCA) de l’unité. Avec la crise, si l’effectif de l’équipe a été limité, les activités n’en étaient pas moins réduites.
Quentin PROU, HMI chimiste nous raconte :
Comment vous êtes-vous adaptés à la situation ?
Depuis le début de la crise, nous avons modifié nos habitudes de travail pour respecter les gestes barrières. L’effectif a été revu à la baisse pour limiter le nombre de personnes sur site et optimiser nos activités. Pendant le confinement, une dizaine de personnes venaient sur site, ceux qui le pouvaient faisaient du télétravail et d’autres étaient en réserve (certains salariés étaient chez eux et devaient venir sur site au cas où quand il y a avait besoin de renfort). On est passé d’une vingtaine de personnes en moyenne à une dizaine sur site, en comptant le laboratoire de Grèges. Le briefing de lancement du matin a été remplacé par des points par pôle sur site. Seule une réunion avec l’équipe au complet était faite en audio à 16h pour remonter les infos entre les personnes qui étaient sur le terrain et ceux qui étaient en télétravail ou en réserve.
A quoi ressemble une journée type ?
La journée d’un chimiste en temps de crise ressemble beaucoup à celle d’avant. Si ce n’est qu’elle peut paraître un peu plus chargée. La baisse d’effectif s’est ressentie mais nous avons continué de réaliser tous les prélèvements et les mesures réglementaires liées au fonctionnement des installations et à la surveillance de l’environnement. Tous les contrôles, que ce soit sur les équipements ou sur l’environnement ont été maintenus et réalisés quotidiennement.
Avez-vous dû prioriser des activités sur d’autres ?
90% de notre activité était maintenue. Les missions de fond, les formations sur les postes ou encore certains projets étaient en standby. Notre mission reste la même : assurer le bon état des tranches et garantir la sûreté des installations. La priorité était aux activités en lien avec le fonctionnement des tranches, la préparation de l’arrêt prochain et la surveillance de l’environnement.
Un grand bravo à tous les collègues des labos pour leur engagement et pour leur professionnalisme !
Aujourd’hui, l’équipe de la chimie est de nouveau au complet mais les pratiques de travail ont évolué avec le respect des gestes barrières et le port du masque.
Quentin PROU, HMI chimiste nous raconte :
Comment vous êtes-vous adaptés à la situation ?
Depuis le début de la crise, nous avons modifié nos habitudes de travail pour respecter les gestes barrières. L’effectif a été revu à la baisse pour limiter le nombre de personnes sur site et optimiser nos activités. Pendant le confinement, une dizaine de personnes venaient sur site, ceux qui le pouvaient faisaient du télétravail et d’autres étaient en réserve (certains salariés étaient chez eux et devaient venir sur site au cas où quand il y a avait besoin de renfort). On est passé d’une vingtaine de personnes en moyenne à une dizaine sur site, en comptant le laboratoire de Grèges. Le briefing de lancement du matin a été remplacé par des points par pôle sur site. Seule une réunion avec l’équipe au complet était faite en audio à 16h pour remonter les infos entre les personnes qui étaient sur le terrain et ceux qui étaient en télétravail ou en réserve.
A quoi ressemble une journée type ?
La journée d’un chimiste en temps de crise ressemble beaucoup à celle d’avant. Si ce n’est qu’elle peut paraître un peu plus chargée. La baisse d’effectif s’est ressentie mais nous avons continué de réaliser tous les prélèvements et les mesures réglementaires liées au fonctionnement des installations et à la surveillance de l’environnement. Tous les contrôles, que ce soit sur les équipements ou sur l’environnement ont été maintenus et réalisés quotidiennement.
Avez-vous dû prioriser des activités sur d’autres ?
90% de notre activité était maintenue. Les missions de fond, les formations sur les postes ou encore certains projets étaient en standby. Notre mission reste la même : assurer le bon état des tranches et garantir la sûreté des installations. La priorité était aux activités en lien avec le fonctionnement des tranches, la préparation de l’arrêt prochain et la surveillance de l’environnement.
Un grand bravo à tous les collègues des labos pour leur engagement et pour leur professionnalisme !
Aujourd’hui, l’équipe de la chimie est de nouveau au complet mais les pratiques de travail ont évolué avec le respect des gestes barrières et le port du masque.