Expérimentation en cours sur l’ADN des abeilles du rucher de la centrale nucléaire de Paluel
Publié le 02/07/2020
Les apiculteurs de la centrale nucléaire de Paluel, Norbert Bourgeois et Arnaud Deverre, participent actuellement à une recherche ADN en collaboration avec les chercheurs recherche et développement (R&D) du groupe EDF.
Samedi 13 juin se déroulaient les premiers prélèvements de miel dans le cadre du projet ADNe (ADN environnemental) auquel participent nos apiculteurs.
Le département Recherche et Développement du groupe EDF a fait appel aux apiculteurs du site de Paluel pour les épauler dans leurs recherches scientifiques ADN notamment sur l’ADN trouvé dans le miel de nos abeilles.
L’objectif ? Tester l’ADN de pollen dans une matrice de miel d’abeilles noires (variété de nos abeilles sur le site), pour identifier les plantes présentes dans un périmètre proche de nos ruches. Les résultats des analyses d’ADN de pollen seront comparés à ceux d’un inventaire floristique classique de terrain afin de vérifier leur cohérence et de mettre en évidence leur potentielle complémentarité.
L’objectif de ces études est de montrer qu’un simple prélèvement de miel est suffisant pour un apport d’informations substantiel de l’inventaire de la flore terrestre environnante.
Des prélèvements mensuels auront lieu entre juin et octobre.
Samedi 13 juin se déroulaient les premiers prélèvements de miel dans le cadre du projet ADNe (ADN environnemental) auquel participent nos apiculteurs.
Le département Recherche et Développement du groupe EDF a fait appel aux apiculteurs du site de Paluel pour les épauler dans leurs recherches scientifiques ADN notamment sur l’ADN trouvé dans le miel de nos abeilles.
L’objectif ? Tester l’ADN de pollen dans une matrice de miel d’abeilles noires (variété de nos abeilles sur le site), pour identifier les plantes présentes dans un périmètre proche de nos ruches. Les résultats des analyses d’ADN de pollen seront comparés à ceux d’un inventaire floristique classique de terrain afin de vérifier leur cohérence et de mettre en évidence leur potentielle complémentarité.
L’objectif de ces études est de montrer qu’un simple prélèvement de miel est suffisant pour un apport d’informations substantiel de l’inventaire de la flore terrestre environnante.
Des prélèvements mensuels auront lieu entre juin et octobre.