Un forum des métiers pour parler avenir
Publié le 26/09/2019
Les 19 et 20 septembre, la centrale nucléaire de Fessenheim organisait un forum des métiers. Au cours de cet événement, les salariés de la centrale ont pu rencontrer près de 180 personnes représentant 59 entités du groupe EDF pour les informer et les aider dans la construction de leur projet de mobilité.
L’organisation de ce forum s’inscrit dans un dispositif global d’accompagnement des salariés de la centrale mis en place, en lien avec les autres entités du Groupe EDF, à la suite de la décision du gouvernement de fermer de manière anticipée d’ici l’été 2020 la centrale de Fessenheim.
Au-delà de ces forums, les salariés peuvent s’appuyer sur une équipe de 6 conseillers mobilité dédiée et sur des managers en relais.
Le défi social auquel les managers et les équipes des ressources humaines doivent faire face est important puisque sur environ 700 salariés d’EDF à ce jour, seuls 60 conserveront un emploi pour travailler au démantèlement de la centrale dans 5 ans.
De nombreux salariés portent leurs regards sur les 18 autres centrales nucléaires exploitées par EDF en France, mais l’éventail des projections est très varié.
Des conférences thématiques animées par la Direction des Ressources Humaines du groupe EDF, la CNIEG (Caisse de retraite des Industries Electriques et Gazières) ou encore par une association spécialisée dans la reprise d’entreprise ont permis de répondre aux spécifités de chaque projet.
L’organisation de ce forum s’inscrit dans un dispositif global d’accompagnement des salariés de la centrale mis en place, en lien avec les autres entités du Groupe EDF, à la suite de la décision du gouvernement de fermer de manière anticipée d’ici l’été 2020 la centrale de Fessenheim.
Au-delà de ces forums, les salariés peuvent s’appuyer sur une équipe de 6 conseillers mobilité dédiée et sur des managers en relais.
Le défi social auquel les managers et les équipes des ressources humaines doivent faire face est important puisque sur environ 700 salariés d’EDF à ce jour, seuls 60 conserveront un emploi pour travailler au démantèlement de la centrale dans 5 ans.
De nombreux salariés portent leurs regards sur les 18 autres centrales nucléaires exploitées par EDF en France, mais l’éventail des projections est très varié.
Des conférences thématiques animées par la Direction des Ressources Humaines du groupe EDF, la CNIEG (Caisse de retraite des Industries Electriques et Gazières) ou encore par une association spécialisée dans la reprise d’entreprise ont permis de répondre aux spécifités de chaque projet.