Légère trace de contamination externe sur un salarié
Publié le 20/05/2019
Une trace de contamination a été détectée le 15 mai sur un salarié d’une entreprise prestataire, à l'issue d'une activité réalisée en zone contrôlée sur l’unité de production n°2 en arrêt programmé pour maintenance. Cette trace a été identifiée, à la fin de l'intervention, lors des contrôles systématiques réalisés par des portiques situés en sortie de zone contrôlée.
Une poussière radioactive présente sur la peau de l’intervenant a été localisée et retirée, au niveau du cou. Le salarié a été pris en charge par les équipes du service médical. Elles ont nettoyé la surface de peau concernée et procédé à des contrôles complémentaires qui ont révélé une faible contamination interne inférieure au niveau d’enregistrement.
Le service médical a réalisé le calcul de la dose reçue par l’intervenant, très localement au niveau cutané, sur la base d’hypothèses défavorables en termes de durée d’exposition et de position de la particule radioactive. L’estimation de dose est ainsi supérieure au quart de la limite réglementaire sans toutefois dépasser cette limite. Cet événement de radioprotection ne justifie pas de traitement médical particulier. La direction de la centrale EDF de Cruas-Meysse l’a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire, au niveau 1 de l’échelle INES, le 17 mai 2019.
Une poussière radioactive présente sur la peau de l’intervenant a été localisée et retirée, au niveau du cou. Le salarié a été pris en charge par les équipes du service médical. Elles ont nettoyé la surface de peau concernée et procédé à des contrôles complémentaires qui ont révélé une faible contamination interne inférieure au niveau d’enregistrement.
Le service médical a réalisé le calcul de la dose reçue par l’intervenant, très localement au niveau cutané, sur la base d’hypothèses défavorables en termes de durée d’exposition et de position de la particule radioactive. L’estimation de dose est ainsi supérieure au quart de la limite réglementaire sans toutefois dépasser cette limite. Cet événement de radioprotection ne justifie pas de traitement médical particulier. La direction de la centrale EDF de Cruas-Meysse l’a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire, au niveau 1 de l’échelle INES, le 17 mai 2019.