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POURSUITE DU PROGRAMME «100 CHANCES 100 EMPLOIS»
Publié le 09/04/2021
8 jeunes en recherche d’emploi ou de complément de formation ont été accompagnés du 15 au 24 mars dans leur insertion professionnelle. Ces dix jours ont été ponctués de coachings et d’entretiens individuels, suivis de débriefings avec des chefs d’entreprises. Dernière étape du programme : le «grand oral» organisé à l’Espace découverte de la centrale de Civaux le 24 mars, durant lequel les jeunes ont présenté leur projet devant une trentaine de responsables d’entreprises, d’élus locaux et le sous-préfet d’arrondissement.
Le projet «100 chances 100 emploi» est un programme d’accompagnement des jeunes de 18 à 30 ans dans leur insertion professionnelle, piloté par la centrale nucléaire de Civaux, aux côtés du club des entreprises du sud Vienne et des acteurs publics de l’insertion professionnelle (Direccte, mission locale rurale centre et sud Vienne, Pôle emploi).
Initié fin 2019 dans la Vienne, il s’agissait de la 3e édition. Une prochaine période de coaching est planifiée fin juin, puis à l’automne.
Le projet «100 chances 100 emploi» est un programme d’accompagnement des jeunes de 18 à 30 ans dans leur insertion professionnelle, piloté par la centrale nucléaire de Civaux, aux côtés du club des entreprises du sud Vienne et des acteurs publics de l’insertion professionnelle (Direccte, mission locale rurale centre et sud Vienne, Pôle emploi).
Initié fin 2019 dans la Vienne, il s’agissait de la 3e édition. Une prochaine période de coaching est planifiée fin juin, puis à l’automne.
[PORTRAIT] - SANDRINE BRIAND, TECHNICIENNE CHIMIE ENVIRONNEMENT À LA CENTRALE DE CIVAUX
Publié le 09/04/2021
EN QUOI CONSISTE VOTRE MÉTIER ?
Mon activité consiste à contrôler le respect des différents arrêtés réglementaires ou en d’autre termes, à m’assurer de l’absence d’impact de la centrale sur l’environnement (conformément à la réglementation). Pour ce faire, tous les jours de l’année, je réalise au sein d’une équipe de 6 personnes des prélèvements dans l’éco-système terrestre, l’air ambiant ou encore les eaux de surface pour assurer un contrôle radio-écologique de l’environnement situé à proximité de la centrale. C’est ce que l’on appelle la « tournée environnement ». Les résultats des analyses sont ensuite mis à disposition du Réseau national de mesure de la radioactivité dans l’environnement (RNM).
QUEL PARCOURS PROFESSIONNEL ?
Après l’obtention d’un baccalauréat sciences et technologies de laboratoire, j’ai débuté ma carrière à EDF en 1996 à Civaux en tant qu’ouvrier professionnel. J’ai ensuite réalisé plusieurs postes de technicienne chimie environnement à la centrale de Belleville sur Loire puis à Civaux.
QUELLES COMPÉTENCES POUR EXERCER CE MÉTIER ?
Le travail en équipe est très important dans notre métier. C’est également un métier qui demande d’être organisé et posé, rigoureux, réactif, force de proposition, disponible et polyvalent.
Mon activité consiste à contrôler le respect des différents arrêtés réglementaires ou en d’autre termes, à m’assurer de l’absence d’impact de la centrale sur l’environnement (conformément à la réglementation). Pour ce faire, tous les jours de l’année, je réalise au sein d’une équipe de 6 personnes des prélèvements dans l’éco-système terrestre, l’air ambiant ou encore les eaux de surface pour assurer un contrôle radio-écologique de l’environnement situé à proximité de la centrale. C’est ce que l’on appelle la « tournée environnement ». Les résultats des analyses sont ensuite mis à disposition du Réseau national de mesure de la radioactivité dans l’environnement (RNM).
QUEL PARCOURS PROFESSIONNEL ?
Après l’obtention d’un baccalauréat sciences et technologies de laboratoire, j’ai débuté ma carrière à EDF en 1996 à Civaux en tant qu’ouvrier professionnel. J’ai ensuite réalisé plusieurs postes de technicienne chimie environnement à la centrale de Belleville sur Loire puis à Civaux.
QUELLES COMPÉTENCES POUR EXERCER CE MÉTIER ?
Le travail en équipe est très important dans notre métier. C’est également un métier qui demande d’être organisé et posé, rigoureux, réactif, force de proposition, disponible et polyvalent.
L’EAU : UN ÉLÉMENT INDISPENSABLE AU FONCTIONNEMENT D’UNE CENTRALE NUCLÉAIRE
Publié le 09/04/2021
A quoi sert l’eau pour une centrale nucléaire ? Elément indispensable à son fonctionnement, son utilisation est réglementée et contrôlée par les pouvoirs publics. Dans un contexte de raréfaction des ressources, EDF met tout en oeuvre pour optimiser la performance de chaque goutte d’eau utilisée dans ses installations.
L’eau destinée au refroidissement des réacteurs nucléaires est prélevée suivant des textes réglementaires propres à chaque centrale. Elle est ensuite traitée si nécessaire, puis contrôlée avant d’être rejetée en milieu naturel, dans le respect des seuils réglementaires. Tout au long de l’année, des équipes s’assurent que les changements de température (de l’ordre de quelques dixièmes de degrés), ne présentent aucun impact sur la faune et la flore.
2m3 : c’est le prélèvement en eau par seconde dont a besoin la centrale de Civaux pour fonctionner
À QUOI SERT L’EAU DANS UNE CENTRALE NUCLÉAIRE ?
L’eau destinée au refroidissement des réacteurs nucléaires est prélevée suivant des textes réglementaires propres à chaque centrale. Elle est ensuite traitée si nécessaire, puis contrôlée avant d’être rejetée en milieu naturel, dans le respect des seuils réglementaires. Tout au long de l’année, des équipes s’assurent que les changements de température (de l’ordre de quelques dixièmes de degrés), ne présentent aucun impact sur la faune et la flore.
2m3 : c’est le prélèvement en eau par seconde dont a besoin la centrale de Civaux pour fonctionner
À QUOI SERT L’EAU DANS UNE CENTRALE NUCLÉAIRE ?
- Produire la vapeur qui actionne la turbine
- Refroidir les installations
- Constituer des réserves de sécurité
- Alimenter les circuits de lutte contre l’incendie
- Alimenter les installations sanitaires et les
- équipements de restauration des salariés
Opération technique programmée susceptible d’émettre du bruit, audible à l’extérieur du site
Publié le 15/03/2021
Dans le cadre d’une intervention technique programmée à partir du samedi 27 mars 2021 dans l'après-midi, des essais de mise en service du diesel seront réalisés sur l’unité de production numéro 2, dans la partie non nucléaire de l’installation.
L’utilisation de ce matériel, qui s'effectuera sur plusieurs jours, pourra s’accompagner de bruit, potentiellement audible depuis les communes situées à proximité immédiate du site.
Les équipes de la centrale de Civaux prennent toutes les dispositions pour limiter au maximum la durée de ces émissions sonores.
Ces opérations font partie du fonctionnement normal de la centrale nucléaire de Civaux.
L’utilisation de ce matériel, qui s'effectuera sur plusieurs jours, pourra s’accompagner de bruit, potentiellement audible depuis les communes situées à proximité immédiate du site.
Les équipes de la centrale de Civaux prennent toutes les dispositions pour limiter au maximum la durée de ces émissions sonores.
Ces opérations font partie du fonctionnement normal de la centrale nucléaire de Civaux.
Opération technique programmée susceptible d’émettre du bruit, audible à l’extérieur du site
Publié le 12/03/2021
Dans le cadre d’une intervention technique programmée dimanche 14 mars 2021 dans l’après-midi, des essais de mise en service du diesel seront réalisés sur l’unité de production numéro 2, dans la partie non nucléaire de l’installation.
L’utilisation de ce matériel pourra s’accompagner de bruit, potentiellement audible depuis les communes situées à proximité immédiate du site.
Les équipes de la centrale de Civaux prennent toutes les dispositions pour limiter au maximum la durée de ces émissions sonores.
Ces opérations font partie du fonctionnement normal de la centrale nucléaire de Civaux.
L’utilisation de ce matériel pourra s’accompagner de bruit, potentiellement audible depuis les communes situées à proximité immédiate du site.
Les équipes de la centrale de Civaux prennent toutes les dispositions pour limiter au maximum la durée de ces émissions sonores.
Ces opérations font partie du fonctionnement normal de la centrale nucléaire de Civaux.
Déclaration d’un événement significatif de sûreté de niveau 1
Publié le 11/03/2021
Le 4 mars 2021, lors d’une activité de maintenance programmée sur l’unité de production numéro 2 actuellement à l’arrêt pour maintenance, les équipes d’intervention détectent une anomalie de montage sur la connectique d’un l’électroaimant permettant le pilotage de l’un des trois tandems de soupapes protégeant le circuit primaire vis-à-vis du risque de surpression*.
Cet équipement, placé dans le bâtiment réacteur, fait l’objet de spécifications de montage particulières, visant à garantir son étanchéité à la pression ambiante et son aptitude à assurer son rôle dans des conditions d’environnement correspondant aux conditions normales de fonctionnement du réacteur, comme dans des situations d’ambiance dégradées.
Cette anomalie de montage, datant de l’arrêt pour maintenance précédent en 2019, ne remet pas en cause le bon fonctionnement du matériel, mais entraîne cependant la remise en cause de son aptitude à fonctionner en situation d’ambiance dégradée.
Cet événement n’a pas eu d’impact sur la sûreté de l’installation. Toutefois, compte tenu de sa détection dite tardive, la centrale nucléaire de Civaux a déclaré cet événement à l’Autorité de sûreté nucléaire le 9 mars comme un événement significatif de sûreté au niveau 1 (anomalie) de l’échelle INES qui en compte 7.
* Chaque unité de production est équipée de trois tandems de deux soupapes connectées au pressuriseur, qui ont pour fonction de protéger le circuit primaire en cas de surpression. Chacune des soupapes est constituée de la soupape proprement dite ainsi que d’un détecteur-pilote comprenant un électroaimant ainsi que des lignes de pilotage.
Cet équipement, placé dans le bâtiment réacteur, fait l’objet de spécifications de montage particulières, visant à garantir son étanchéité à la pression ambiante et son aptitude à assurer son rôle dans des conditions d’environnement correspondant aux conditions normales de fonctionnement du réacteur, comme dans des situations d’ambiance dégradées.
Cette anomalie de montage, datant de l’arrêt pour maintenance précédent en 2019, ne remet pas en cause le bon fonctionnement du matériel, mais entraîne cependant la remise en cause de son aptitude à fonctionner en situation d’ambiance dégradée.
Cet événement n’a pas eu d’impact sur la sûreté de l’installation. Toutefois, compte tenu de sa détection dite tardive, la centrale nucléaire de Civaux a déclaré cet événement à l’Autorité de sûreté nucléaire le 9 mars comme un événement significatif de sûreté au niveau 1 (anomalie) de l’échelle INES qui en compte 7.
* Chaque unité de production est équipée de trois tandems de deux soupapes connectées au pressuriseur, qui ont pour fonction de protéger le circuit primaire en cas de surpression. Chacune des soupapes est constituée de la soupape proprement dite ainsi que d’un détecteur-pilote comprenant un électroaimant ainsi que des lignes de pilotage.
[Portrait] - Gaëlle GUERCHET : chargée d’affaires maintenance
Publié le 08/03/2021
Votre métier en quelques mots ?
En tant que chargée d’affaires maintenance, je suis spécialisée dans la préparation et le suivi des gestes réglementaires (capacités et épreuves hydrauliques) sur des matériels situés dans la partie nucléaire comme dans la partie conventionnelle de l’installation. En clair, il s’agit de vérifier l’étanchéité et la tenue à la pression de gros réservoirs, dans le but de garantir leur fonctionnement en toute sûreté mais aussi pour garantir la sécurité du personnel intervenant. Pour cela, je suis responsable de la préparation des activités (pour les périodes d’arrêt pour maintenance), je participe à des réunions transverses pour identifier les co-activités et bien gérer les interfaces avec les autres chantiers, en lien avec les fournisseurs. Je suis également garante de la tenue du planning. Enfin, je suis responsable de la surveillance des différents chantiers, en collaboration avec les chargés de surveillance. C’est très complet !
Quel a été votre parcours professionnel ?
Après avoir obtenu un bac littéraire puis réalisé deux ans d’étude en faculté de psychologie, je me suis rendue compte que j’étais plutôt attirée par un métier concret. Je me suis donc réorientée vers un BEP tuyauterie industrielle/soudure et ai travaillé pendant huit ans dans le domaine de l’accastillage de bateaux. J’ai ensuite rejoint le Groupe EDF où, après avoir passé des qualifications et habilitations en soudure, j’ai occupé le poste de technicien soudeur à la centrale thermique de Cordemais près de Nantes. Après cette première expérience en centrale, j’ai rejoint le domaine du nucléaire en 2017, en tant que chargée de surveillance à la centrale de Civaux.
Quelles qualités sont nécessaires pour exercer ce métier ?
Je dirais deux choses. L’esprit d’équipe d’abord, car il est très important d’être soudés pour réaliser collectivement nos objectifs, échanger sur nos expériences et progresser ensemble. La réactivité ensuite, car en période d’arrêt, il faut s’adapter aux imprévus et ne pas rester cloisonnés dans nos activités.
En tant que chargée d’affaires maintenance, je suis spécialisée dans la préparation et le suivi des gestes réglementaires (capacités et épreuves hydrauliques) sur des matériels situés dans la partie nucléaire comme dans la partie conventionnelle de l’installation. En clair, il s’agit de vérifier l’étanchéité et la tenue à la pression de gros réservoirs, dans le but de garantir leur fonctionnement en toute sûreté mais aussi pour garantir la sécurité du personnel intervenant. Pour cela, je suis responsable de la préparation des activités (pour les périodes d’arrêt pour maintenance), je participe à des réunions transverses pour identifier les co-activités et bien gérer les interfaces avec les autres chantiers, en lien avec les fournisseurs. Je suis également garante de la tenue du planning. Enfin, je suis responsable de la surveillance des différents chantiers, en collaboration avec les chargés de surveillance. C’est très complet !
Quel a été votre parcours professionnel ?
Après avoir obtenu un bac littéraire puis réalisé deux ans d’étude en faculté de psychologie, je me suis rendue compte que j’étais plutôt attirée par un métier concret. Je me suis donc réorientée vers un BEP tuyauterie industrielle/soudure et ai travaillé pendant huit ans dans le domaine de l’accastillage de bateaux. J’ai ensuite rejoint le Groupe EDF où, après avoir passé des qualifications et habilitations en soudure, j’ai occupé le poste de technicien soudeur à la centrale thermique de Cordemais près de Nantes. Après cette première expérience en centrale, j’ai rejoint le domaine du nucléaire en 2017, en tant que chargée de surveillance à la centrale de Civaux.
Quelles qualités sont nécessaires pour exercer ce métier ?
Je dirais deux choses. L’esprit d’équipe d’abord, car il est très important d’être soudés pour réaliser collectivement nos objectifs, échanger sur nos expériences et progresser ensemble. La réactivité ensuite, car en période d’arrêt, il faut s’adapter aux imprévus et ne pas rester cloisonnés dans nos activités.
[Portrait] - Jacques Moulinier, opérateur
Publié le 05/03/2021
En quoi consiste votre métier ?
En tant qu’opérateur, je participe, au sein d’une équipe qui tourne en 3x8, à la conduite des unités de production d’électricité de Civaux. En particulier, j’assure le pilotage de l’installation depuis la salle de commande. Je suis également en charge de la surveillance du bon fonctionnement des matériels, à partir des remontées des agents de terrain. J’analyse les résultats des essais périodiques et réalise un diagnostic de l’état de l’installation pour prévenir les incidents.
Quel a été votre parcours professionnel ?
J’ai été embauché à la centrale EDF de Civaux en 2008 en tant que rondier, après avoir obtenu un baccalauréat STI génie électrotechnique. Suite à cela, j’ai suivi des formations internes qui m’ont permis de devenir agent de terrain, puis technicien. Mon goût du pilotage de la machine m’a ensuite conduit à suivre le cursus de formation d’opérateur de 18 mois pour devenir opérateur, fonction que j’occupe depuis 2015. Mon parcours professionnel est une illustration des possibilités d’évolutions qu’offre le Groupe EDF !
Quelles compétences sont nécessaires pour exercer ce métier ?
Pour exercer ce métier, il est très important d’être rigoureux afin de respecter le programme de production, les consignes d’exploitation, les spécifications techniques, et plus généralement, toutes les règles dans les domaines de la sécurité, de la sûreté de l’installation mais aussi du respect de l’environnement. Etre curieux, savoir se remettre en question et avoir un vrai sens de l’écoute et du relationnel est également un atout.
En tant qu’opérateur, je participe, au sein d’une équipe qui tourne en 3x8, à la conduite des unités de production d’électricité de Civaux. En particulier, j’assure le pilotage de l’installation depuis la salle de commande. Je suis également en charge de la surveillance du bon fonctionnement des matériels, à partir des remontées des agents de terrain. J’analyse les résultats des essais périodiques et réalise un diagnostic de l’état de l’installation pour prévenir les incidents.
Quel a été votre parcours professionnel ?
J’ai été embauché à la centrale EDF de Civaux en 2008 en tant que rondier, après avoir obtenu un baccalauréat STI génie électrotechnique. Suite à cela, j’ai suivi des formations internes qui m’ont permis de devenir agent de terrain, puis technicien. Mon goût du pilotage de la machine m’a ensuite conduit à suivre le cursus de formation d’opérateur de 18 mois pour devenir opérateur, fonction que j’occupe depuis 2015. Mon parcours professionnel est une illustration des possibilités d’évolutions qu’offre le Groupe EDF !
Quelles compétences sont nécessaires pour exercer ce métier ?
Pour exercer ce métier, il est très important d’être rigoureux afin de respecter le programme de production, les consignes d’exploitation, les spécifications techniques, et plus généralement, toutes les règles dans les domaines de la sécurité, de la sûreté de l’installation mais aussi du respect de l’environnement. Etre curieux, savoir se remettre en question et avoir un vrai sens de l’écoute et du relationnel est également un atout.
[Portrait] - Aymeric schaueur, chargé de surveillance et d’intervention en maintenance électrique et... ancien alternant !
Publié le 02/03/2021
En quoi consiste ton métier ?
En lien avec le chargé d’affaires, j’ai en charge la surveillance et le suivi des prestations de maintenance dans le domaine électrique. Je m’assure ainsi du respect des règles de sûreté et de sécurité des interventions, de leur phase de préparation jusqu’au repli de chantier. En dehors de ce programme de surveillance, je suis une bonne partie de mon temps sur le terrain pour réaliser des interventions et des dépannages comme le remplacement de coffrets électriques, l’échange de batteries ou encore de la maintenance préventive. C’est très varié !
Quel parcours professionnel ?
Suite à la réalisation d’un BTS électrotechnique en alternance au pôle électricité du service maintenance de la centrale de Civaux, j’ai été embauché à EDF en tant que technicien d’intervention électricité en 2013. J’occupe mon poste actuel de chargé de surveillance et d’intervention depuis 2017 et espère plus tard évoluer vers un poste de chargé d’affaires.
Qu’est-ce qui te plait le plus dans ton métier ?
Ce qui est très plaisant dans mon métier, c’est l’autonomie dont on dispose pour organiser son travail, qu’il s’agisse d’interventions pendant les arrêts de tranche ou pendant les phases où la centrale est en production. J’aime également le contact avec les entreprises partenaires et le travail d’équipe.
En lien avec le chargé d’affaires, j’ai en charge la surveillance et le suivi des prestations de maintenance dans le domaine électrique. Je m’assure ainsi du respect des règles de sûreté et de sécurité des interventions, de leur phase de préparation jusqu’au repli de chantier. En dehors de ce programme de surveillance, je suis une bonne partie de mon temps sur le terrain pour réaliser des interventions et des dépannages comme le remplacement de coffrets électriques, l’échange de batteries ou encore de la maintenance préventive. C’est très varié !
Quel parcours professionnel ?
Suite à la réalisation d’un BTS électrotechnique en alternance au pôle électricité du service maintenance de la centrale de Civaux, j’ai été embauché à EDF en tant que technicien d’intervention électricité en 2013. J’occupe mon poste actuel de chargé de surveillance et d’intervention depuis 2017 et espère plus tard évoluer vers un poste de chargé d’affaires.
Qu’est-ce qui te plait le plus dans ton métier ?
Ce qui est très plaisant dans mon métier, c’est l’autonomie dont on dispose pour organiser son travail, qu’il s’agisse d’interventions pendant les arrêts de tranche ou pendant les phases où la centrale est en production. J’aime également le contact avec les entreprises partenaires et le travail d’équipe.
En direct de l’arrêt pour maintenance de l’unité de production n°2
Publié le 02/03/2021
Après une première phase de mise à l’arrêt du réacteur, l’arrêt pour maintenance de l’unité de production n°2 de Civaux se poursuit. D’importants travaux de maintenance sont en cours, comme ici en salle des machines où les équipes procèdent actuellement à des contrôles sur un élément de la turbine de 165 tonnes. Une opération réalisée tous les 10 ans seulement.
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